Partie 1
Nous voici à Amsterdam, une ville où tout est permis malgré la loi que le bourgmestre instaure. Tout était sens dessus dessous et les habitants préférait rester à leur domicile au lieu de sortir et faire vivre la ville. Voilà l’ambiance qui y régnait depuis la dernière décennie à Amsterdam. Le gouvernement hollandais mettait cette ville dans leur priorité afin d’y ramener de l’ordre.

Il y a quelques jours, les élections ont eu lieu pour désigner le nouveau bourgmestre d’Amsterdam en espérant que cela change. Mr J. De Booij avait mis un point d’honneur pour cela mais nous pouvons toujours voir les classes sociales essayant de ne pas se mélanger.Voilà quelques temps qu’Amsterdam a retrouvé un peu de tranquillité suite aux débordements de l’an dernier. Cela va t’il durer ? Pour le moment le bourgmestre tente de rassurer ses citoyens.

Il a tenter plusieurs événements afin de permettre aux habitants de pouvoir se changer les idées mais les événements n’ont pas eu l’effet escompté.

Un petit rappel :
• Un festival tout en couleur afin de pouvoir découvrir les talents d’Amsterdam. Mais peu de gens s’y sont retrouver et le festival a finalement duré une journée. Mais le soleil était quand même au rendez vous !

• Deux mois après et pour préparer l’arrivée de Noël, les Festivités Bijenkorf avait réuni plus de monde car les boutiques avaient ouvert jusqu’à tard dans la soirée. Mais à 22h, au moment où les boutiques commencèrent à fermer leurs portes une détonation se fit entendre. Mouvement de foule et beaucoup de blessés par chance personne de mort. Quelle soirée ! Personne n’a été arrêté pour ces coups de feu ou autres.

• Le festival année 80 pour redonner du baume au cœur après les derniers événements. mais peut être de peur que la passé revienne hanté le festival, peu de personne se sont déplacé. Mais la fête était bien là tout de même

Halloween. Le maire a décidé d’inviter les habitants à passer cette soirée encore une fois tous ensemble mais une mystérieuse personne en a décidé autrement. Les habitants ont été envoyé à une autre adresse et enfermé dans la salle de concert. La suite est à écrire …
Amsterdam a deux visages : le côté festif où Amsterdam organisait les plus beaux évènements à faire rougir Las Vegas et de l’autre, où la décadence prenait place.

La ville est en train de sombrer mais avec cette nouvelle élection, pourra-t-on redonner à Amsterdam sa beauté d'antan ?

Partie 2

Quand les derniers hospitaliers – des moines chevaliers – revinrent de terre sainte et s’installèrent à la commanderie Saint-Georges, dans la jeune ville de Lyon, en 1315, ils ramenèrent avec eux un lourd volume écrit en Terre Sainte et à la main. Il était écrit dans un dialecte latin peu usité et codé. Il s’agissait d’un manuscrit écrit par un moine que beaucoup considérait comme fou… son nom était L’historia mentiendi, un livre dont le contenu révélait bon nombre de vérités cachées de ce monde. Beaucoup était du délire, mais certaines bribes parlaient de choses bien plus noires, bien plus sombres, mentionnées à demi-mots et qui accordaient beaucoup d’importance à ceux que l’auteur appelait être de la nuit ou encore les bénis idolâtres. Deux expressions qui revenaient trop souvent.
Ce livre aurait pu tomber en désuétude, mais ce ne fut pas le cas. Plusieurs moines y prêtèrent foi, s’y intéressèrent… jusqu’à ce que certaines vérités en émergent… vampires et sorciers existaient, et les moines commencèrent alors à rassembler tout ce qui était étrange, sortant de l’ordinaire, au fil des ans, pour comprendre, pour appréhender ce monde qui s’offrait à eux. Compilant chaque information, chaque recherche, dans une bibliothèque secrète cachée au cœur de la ville, inaccessible seulement par les connaisseurs.

Et ils avaient bien raison, car bien au-delà de la compréhension des humains lambda , bien avant qu’ils ne le remarquent, des êtres de l’ombre existaient, comme dans un monde au-delà du monde, se nourrissant de sang… sanguine vampiris. Voilà leur nom, celui qu’on leur donna. Les vampires. Oui, exactement. Mais ils n’étaient pas les seuls. D’autres êtres, bien plus proches des humains, se manifestaient, capables d’actes que certains voyaient comme de la bénédiction céleste et d’autres comme de la malédiction, de l’impiété, de idolâtrie. Sorcellerie, voilà le nom.
Le seul rapport officiel parlant d’eux qui sorti de la bibliothèque secrète des moines fut un long courrier adressé au pape. De par son caractère impie, il fut scellé et brûlé… et peu de temps après, les agents pontificaux en France orchestrèrent dans l’ombre la tristement célèbre Saint Barthélémy, estimant régler le problème ainsi, sans pousser plus loin. Mais les moines n’étaient pas de cet avis, et, en grand secret, ils s’ouvrirent aux profanes en créant l’Erevna, une société secrète dédiée à la recherche et l’étude de ces êtres étranges selon deux principes: le secret, que ce soit vis-à-vis des autres humains ou des espèces étudiées, et l'apprentissage, pour que chaque membre comprenne ce que cela signifiait de faire partie d’un tel système. Le fonctionnement fut alors calqué sur les universités, meilleure manière de faire fonctionner le savoir.


ET CELA CONTINUE AUJOURD’HUI
Nous sommes en 2014, à Lyon, toujours le centre névralgique de cette histoire. Les vampires, comme les sorciers se cachent toujours du grand public et rares sont ceux à avoir l’honneur – le désespoir ? – de connaitre la triste réalité des choses. Chacun tente de préserver son secret, comprenant très clairement que la réactions de masse et l’idée de se retrouver avec plus fort qu’eux sur cette terre -notamment le prédateur naturel de l’homme- est peu rassurant.
Consciente de cela, l’Erevna garde encore ses recherches secrètes. La société occulte est toujours très affairée à comprendre quels sont ces êtres qui hantent le monde, aux frontières de notre connaissance et de notre réalité, pendant que nous, nous dormons tendrement dans nos petits lits douillets. Nous devrions peut être nous angoisser un peu plus à l’idée du noir… mais qui sait…
Il reste tant de choses à savoir, à apprendre, sur soi, sur les autres et à l’heure de la médiatisation, une révélation est si vite arrivée… difficile de croire qu’aucun secret n’a filtré ! C'en est presque miraculeux.

1918, l’Europe est ravagée par les résultats de la Grande Guerre. Jamais plus, dit-on, on ne veut une guerre aussi meurtrière qui a fauché la fine fleur de la jeunesse européenne.

L’Empire Allemand a gagné. L’empereur d’Allemagne Guillaume II a mis le monde à genoux. Avec ce bouleversement, les années folles commencent en Allemagne. Et pour assurer la paix et la stabilité de l’Europe et de ses colonies sous son contrôle implacable, l’Empereur a forcé les Monarques et les Élites de tous les pays à lui confier ses enfants, ses parents proches, qui sont accueillis à Neueschloss, la ville bâtie par Guillaume II.

Ce fut un chantier colossal et malgré les délais des travaux imaginés, la ville fut bâtie en moins de cinq ans autour du palais estival du Kaiser. Le but ? Que chaque personne qui tenterait de s’opposer à lui paie le prix fort : la vie de ses proches.

Seulement…

Seulement il faut bien occuper ces gens habitués aux goûts de luxe… l’oisiveté mène au complot après tout, non ? Alors, peu à peu, la ville se déprave, et alors fleurissent les institutions de débauche, au point qu’en 1925, l’organe gérant la ville, le Comité, met en place la Loi de Régulation. Et de partout dans le monde, sont appelés à venir vivre en ville des jeunes gens – ou des moins jeunes – pour y commencer de nouvelles vies sous conditions…

Ce qui ne se dit pas ? Ces gens sont voués à devenir des Fonctionnaires, à travailler pour le Comité et à ne jamais quitter la ville ou presque. Enfin, pour les plus chanceux. A l’entrée en ville, certains sont sélectionnés. Les critères sont mystérieux mais ces personnes sont vouées à devenir des Servants et des Servantes. Esclaves en somme, pour les proches des puissants qui se retrouvent en ces lieux, les Pupilles. Poudre aux yeux pour les tenir occupés mais cela fonctionne…

Et la paix dure, dure encore. Nous sommes en 1929, et le système semble fonctionner. Toutefois, le flot des nouveaux arrivants volontaires commencent à se tarir… on raconte que, faute de mieux… La rumeur dit que pour compenser, le Comité aurait commencé à se servir dans les pays voisins, principaux perdants de la guerre, majoritairement. Une preuve ? Il n’y en a pas… mais on raconte que la célèbre cantatrice italienne Graziella Della Maria aurait mis fin à sa carrière et disparu alors qu’une personne assurerait l’avoir croisée en Allemagne. Drôle de situation…

New York, centre économique des Etats Unis, ville immense aux innombrables gratte-ciel. Huit millions et demi d’êtres humains y vivent, dispersés entre les cinq comtés de la métropole : le Queens, le Kings, le Bronx, Richmond et Manhattan… Tous sont d’horizons plus ou moins différents, tous succombent à un vice ou à un autre, tous désirent quelque chose dans cette vie…
Chacun sa merde, comme on dit. Pour certains, comme les traders, ce sont certains genres de poudre blanche. Pour d’autres, il s’agit de l’herbe. Pour d’autres encore, il s’agit de pratiques sexuelles hors normes, peu habituelles, décrites souvent comme déviantes. Bon nombre y trouvent leur plaisir, leur charme, leur épanouissement. Avec la vente de Best Sellers comme fifty shades ou les infortunes de la belle au bois dormant, peu à peu cette sexualité est devenu moins méconnue, et si ce n’est très acceptée, au moins davantage connue, davantage reconnue, davantage tolérée. Et c’est un florilège de nouveaux lieux où pratiquer qui existent désormais.

Le Dungeon est l’un d’eux. Ouvert depuis un certain temps déjà, il s’agit d’un lieu où les pratiquants peuvent se retrouver, échanger, jouer ensemble, ou apprendre à mieux se connaitre au sein de cet univers sombre de plaisirs étranges pour beaucoup… Un véritable club BDSM en somme. Allons, entrez, venez, goutez à ces plaisirs, que ce soit dans le Donjon ou hors de celui-ci, venez exprimer votre sexualité dans toute son entièreté, la pousser dans les ultimes plaisirs…

Mais ne croyez pas que le Dungeonsoit le seul en son genre, bien au contraire. Un deuxième lieu similaire lui fait désormais concurrence… Sous la houlette de son dirigeant, ce nouveau lieu de plaisir propose de s’abolir de toute limite autre que le consentement, poussant les plaisirs et les vices toujours plus loin… proposant même contre des prix prohibitifs des possibilités au-delà de la légalité… Le Deuxième cercle, voilà son nom… Une rumeur court même qu’il aurait pu y avoir un mort ou deux durant les séances là-bas… mais selon les pratiquants de cet endroit, le plaisir n’est jamais dénué de risques, même les plus définitifs…

Il existe même pire encore. Vous trouviez le Deuxième Cercle glauque ? Il y a pire. Oh, bien sûr, on ne dirait pas ainsi, dans cette petite agence matrimoniale qui semble tout à fait ordinaire, appelée IBY (I’ll Be Yours ), où de jeunes ou moins jeunes, célibataires tentent de trouver l’âme sœur…
En réalité, il s’agit d’un véritable trafique d’esclave sexuels clandestin, accessible à qui paye bien… oh, ne vous y trompez pas, IBY a une excellente réputation, et sa patronne, Kendra Lawson, est une femme d’affaire tout ce qu’il y a de plus respectable et tout ce qu’il y a de plus respectée se trouve une femme dure et insensible gérant d’une main de fer tout le trafic d’esclaves de l’Etat, important des clandestins qu’elle revend aux locaux pouvant se les payer. Ne vous y trompez pas, il ne s’agit ni de mariages blancs ou autres. Non il s’agit purement et simplement d’esclavage à caractère sexuel. Et si un ou une esclave ne se vend pas, il y a toujours des réseaux de prostitution qui seront intéressés. Tout simplement.

Des cris, des hurlements résonnent et leur écho se perd à la cime des montagnes. La plainte stridente du condor survolant la cordillère n'y change rien, ni les Dieux Incas d’ailleurs, ils ne peuvent que constater la scène macabre qui se déroule sous leurs yeux.
Les Conquistadors Espagnols menés par Francisco Pizarro ont envahi Cuzco, la Cité Soleil et la mettent à sac. Ils massacrent les hommes, violent les femmes, pillent toutes leurs richesses... détruisant tout sur leur passage. Ils laissent derrière eux misère et damnation. Il ne reste plus de la ville qu'un tas de cendres et des corps ensanglantés.


Seule une famille a survécu au massacre. Amok, l'aîné de la fratrie, s’est méfié des Espagnols dès 1532 quand Pizzaro a tendu un piège et capturé l’empereur durant ce qui devait être des accords de paix. Fuyant le feu des 180 soldats qui ont tué plus de 20’000 Incas désarmés, Amok a prévenu la capitale de ce qui venait de se passer. Personne n’a écouté ses paroles, ni les autorités qui pensaient la cité imprenable, ni ses propres sœurs, les jumelles Orianna et Inayha. Pendant deux ans, il a creusé un tunnel, persuadé qu’ils devraient un jour avoir à évacuer la Cité Soleil. Les intuitions d’Amok étaient exactes. En 1534, les Conquistadors ont pris le contrôle de la ville. L’Aîné a caché ses deux frères et trois sœurs dans les sous-sols de la ville. Malheureusement, Amok n’a pas eu le temps de creuser une sortie mais, le hasard faisant bien les choses, la famille s’est retrouvée sous le temple sacré.

Alors que les flammes dévoraient le corps d’Atahualpa, il pria les Dieux, réclamant vengeance pour son peuple. Du tréfonds de l’Univers Divin, le Seigneur Ultime, Pachacamac, décida de répondre à la dernière supplique du Roi. Le Dieu décréta de ne pas laisser impuni le meurtre de son représentant sur terre. Voyant les six survivants sous son temple, Il en fit des Demi-Dieux afin que s’accomplisse, au fil des siècles, la vengeance de l’Empire Inca…

Pour cela, il offrit à chacun un fragment d'âme divine, leur octroyant, par la même occasion, des pouvoirs propres à chacun, leur conférant ainsi un avantage net sur le genre humain. Si leur apparence restait commune, leurs âmes ne l’étaient plus, telle une entité céleste prisonnière de la chair humaine.

Pachacamac leur fit un dernier présent avant de leur confier une lourde mission. Il créa de toute pièce une Cité cachée, perdue dans la cordillère des Andes. Les Mana Wanoj investirent leur nouvelle demeure et chacun prit ses quartiers. Malheureusement, les six survivants ne parvinrent à se mettre d'accord quant à l'attitude à adopter contre l’humanité... et concernant leur vengeance. Une violente dispute éclata et les clans se formèrent.

Amok voulut prendre du recul, Rocka souhaitait éradiquer, purement et simplement, le genre humain. Ayar aspirait à cohabiter avec les hommes et Chenoa, dévastée d'avoir perdu enfant et mari, se mura dans le silence et la douleur. Les cadettes, les jumelles Orianna et Inayha, calmèrent le jeu. Orianna, se chargea de soigner la douleur d’Amok, lui redonnant goût à la vie. Inayha, quant à elle, usa de ses pouvoirs et de son calme pour canaliser la folie meurtrière de Rocka.

Les esprits finirent par se calmer et les Originels décidèrent de se mêler aux humains, de les investir en restant dans l'ombre. Ils se mélangèrent aux hommes, tel un poison sournois se répandant au sein de l’humanité…

Au fil des décennies, les Mana Wanoj, autrement dit les Demi-Dieux, grandirent, infectant d’autres enveloppes charnelles de fragments d’âmes divines. Ils se multiplièrent, se mêlant aux humains, kidnappant certains pour les réduire à l’état d’esclave au sein de leur cité.

Leur cible ? Les humains, mais en particulier les descendants des Conquistadors. Ils les nomment la "lignée maudite". Tous subiront leur courroux pendant des siècles.

Aujourd'hui

Lima, capitale du Pérou, pleine de vie. En apparence il y fait bon vivre, le soleil… l’océan… les montagnes vertigineuses et sauvages de la cordillère des Andes. Une véritable carte postale, sur le papier du moins, car ce cadre idyllique cache en réalité une monstruosité, le poison de l’humanité.

Les Mana Wanoj sont parmi vous, humains. Perchés au sommet de leur cité interdite, juchée sur la plus haute cime de la cordillère des Andes, ils se jouent de vous, pillant vos vies et votre quotidien.

A travers le monde, des humains disparaissent pour alimenter le plaisirs des Mana Wanoj, se retrouvant à leur service. Ils sont prisonniers entre leurs mains puissantes et vengeresses. Ils sont partout et savent garder leurs trafics et leur existence secrètes.

Les Exterminatis, une secte ancienne, passant aux yeux des humains pour des fanatiques religieux, ont passé les 500 dernières années à rassembler des preuves de l’existence des Mana Wanoj. Mais qui irait croire en de telles inepties ? Pas la police, ni les gouvernements en tout cas. De toute façon, ils n’ont que doutes et hypothèses farfelues à soumettre aux autorités. Toutefois, s’ils parvenaient à capturer un Mana Wanoj… Les choses pourraient changer…

Les Mana Wanoj connaissent l'existence de ces fanatiques d’Exterminatis, ils savent tout... ils sont partout. Ils s’en méfient et les surveillent de très près, certains d’entre eux les ont même infiltrés. Tremblez humains, la Nation Inca régnera un jour sur le monde, comme le disaient les prophéties anciennes.

Haven, une ville qui ne dort jamais. Et vous venez d’y arriver. Où est-ce ? Vous ne le savez pas. Vous ne savez qu’une seule chose : vous êtes morts. Tous. C’est la seule chose dont vous êtes surs… Et vous êtes là, à attendre votre tour. Trois femmes, derrière des guichets vous appelle par votre numéro attribué.
On vous appelle, vous vous levez et vous vous rendez au comptoir où on vous donne un dossier papier, basique, avec un coup de tampon rouge dessus. « Accepté ». Vous êtes accepté à Haven, en attendant le jour du jugement dernier, où les portes du paradis s’ouvriront, vous dit-on.
Vous ouvrez votre dossier, une identité vous a été attribué, votre apparence aussi. Une nouvelle vie à durée indéfinie, éternelle, qui commence. On vous annonce qu’un parrain – ou une marraine – vous a été désigné. Que cette personne vous attend et qu’il va falloir vous y rendre directement en sortant. Le reste de votre dossier contient des fiches de renseignement diverses, depuis le fonctionnement de la ville jusqu’à la dernière page montrant les dirigeants de la ville, le Gouverneur et la Maire, en passant par le règlement à suivre sur place.

Mais votre temps est écoulé et déjà on vous dit de prendre la porte de gauche. Une grille de fer forgé, à l’ancienne, donnant un côté inquiétant. Et rien derrière. Vous la touchez et vous êtes sur le quai du tramway aérien de la ville.


Vous ne saviez pas. Comment auriez vous pu savoir qu’Haven, vous ne seriez rien… ou du moins si. Votre parrain, votre marraine, est votre bourreau et vous n’avez aucun droit de vous en défaire, petite âme, petit jouet entre les griffes des puissances de l’enfer… pliez, ou ne pliez pas, mais survivez… un jour, les portes du paradis s’ouvriront, et peut être y serez-vous acceptés…

Bienvenue à Haven.

Superman, Batman, Wonder Woman… Qui n’a jamais entendu parler de ces vaillants héros qui, depuis des années, luttent contre le crime et protègent le monde de toute menace se présentant face à eux ?

Le Joker, Lex Luthor, Darkseid… Ces criminels et super-vilains terrifient autant qu’ils fascinent et sèment la mort et la ruine partout où ils passent.

Il fut un temps où les super-pouvoirs étaient inconnus des humains, mais désormais, ils sont partout. Dieux salvateurs ou monstres meurtriers, leur vie est faite d’intrigues, d’action, d’aventure, de combat... Mais également, à l’occasion, d’amours passionnels et de sexe dépravé. Ici, nous vous proposons d’accompagner vos héros favoris dans tous les moments de leurs vies, en particulier ceux où ils ne sont pas suivis par la plume de l’auteur et le pinceau du dessinateur.
Bienvenue dans l’intimité des surhommes. Bienvenue sur DC-comics-free.

Nichée , dans la haute vallée du torrent de Vachères , où s'endorme paisiblement l'Eyssalette , se trouve la commune des Orres, Ueris en vivaro-alpin .. Un endroit à la fois merveilleux et curieux qui se compose de huit hameaux et villages . Son passé est plutôt riche en événements , après avoir été une réserve de blé considérable pour la ville d'Embrun , les Orres a été le théâtre de divers faits historiques importants , avant de devenir l'une des plus célèbres stations de ski en France. Aujourd'hui toute son économie se repose sur son tourisme , qui vienne du monde entier pour descendre ses pistes ou bien fouler ses chemins de randonnée. A 1650m d'altitude et en belvédère du Lac de Serre-Ponçon , les Orres est incontestablement une destination de rêve pour des vacances en famille ou entre amis. De nombreux chalets sont à louer tout au long des saisons, pour mieux profiter de son ambiance extraordinaire.. Les habitants sont plutôt chaleureux, mais non sans secret inavouable, et dans ce genre de petit village où tout le monde se connait , et bien il est difficile de commettre un crime sans qu'un corbeau vicieux te surprenne et te fasse chanter. Non Les Orres n'est pas sans part d'obscurité et c'est bien là le soucis actuel de notre petite commune des montagnes. Après qu'une série de disparitions a commencé et qu'un corps a été retrouvé dans le vaste lac de Serre-Ponçon , la situation a commencé à dégénérer. La presse locale , à bien évidemment, fait couler de l'encre sur des histoires plus ou moins abracadabrantes :sur un tueur dans nos hauteurs ou bien sur une créature improbable digne d'un folklore alpin. Mais rien n'a été prouvé jusqu'à présent..La police et la gendarmerie sont bien évidemment sur l'affaire , avant que l'hystérie ne gagne le cœur des habitants, ils comptent tout simplement résoudre ce mystère qui plane désormais sur les Hautes -Alpes. Cependant le brouillard s'épaissit et de nouveaux évènements troublants sont à venir..

‟ Un stalker sur le dos, une bouteille planquée dans son sac : welcome to London, lui dit-on. Nouvelle aventure échafaudée à l'arrache. Elle (qui a tout plaqué sans l'ombre d'un remord pour s'installer ici) esquisse un sourire et se pense bien plus en sécurité qu'elle ne l'était auparavant. Est-ce vraiment le cas ? Ça, c'est moins sur. Mais à peine un pied hors du taxi qu'elle règle sur le champ : l'ambiance lui plaît déjà et elle reconnait sans peine les bus impériaux rouges et les cabines téléphoniques de la même couleur, pas de doute, elle est bien dans la capitale anglaise. Non déçue du voyage puisque c'est une artiste, une intellectuelle et qu'elle se nourrit de culture. Elle sillonne la ville d'un pas décidé en inspirant une bouffée d'air frais. La musique parvient du fond d'un taudis jusqu'à ses oreilles et les individus croisés semblent accueillants. L'espoir de se fondre aux autres habitants paraît plausible. Premières bonnes impressions. Soit. Il ne reste plus qu'à trouver un job et un endroit pas trop cher où passer sa première nuit. Entamant ainsi ses premières démarches, priant intérieurement de ne pas trop devoir revoir ses ambitions. Elle rencontre le vieux Joe, celui que tous prennent pour un fou –  mais qui est en vérité adorable et toujours de bon conseil. Crispée au bout de ses doigts, une clope se consume pendant qu'il la renseigne. Ce sera un simulacre de son premier ami dans le coin avant de connaître bien des déboires.